lundi 29 décembre 2014

Ça y est, elle est là !!!

Ça y est la neige est de retour et avec elle, le froid !!!
Comme prévu, à 10h pétante, nous, les gars de la vallée, on y est au rencard !!!
Ceux de la banlieue nord, on les attend toujours...
Ils ont surement trouvé mieux à faire vers chez eux, sur la voie verte !!

Nous voilà donc parti entre entier, pas de demi chez nous...
Au rendez-vous toujours les mêmes acros : DD, Pascal, Jérôme et Guy.



Une virée sous un froid glacial, 4° en partant, les coups de pédales nous réchauffe mais la température baisse...


La boue, pas tant que ça, mais arrivé au col du Bourreau, quelques flocons viennent nous titiller.
La montée sur Cénant est blanche des reste de la veille au soir. Y a qu'a voir la gueule du vélo.

Une belle petite sortie, avec un retour sur La Borde pour une montée sur les crêtes de Tapia.


mardi 23 décembre 2014

A protéger !

Depuis quelques temps, une population tend à disparaître dans notre vallée, je tiens donc à vous décrire une espèce animale que vous pouviez croiser régulièrement au hasard de  vos ballades dans les collines du Douctouyre.
Les individus étaient facilement reconnaissables avec leur robe couleur jaune fluo. Cette couleur flashy est sûrement une des causes de leur perte. Qui pourrait supporter un tel apparat sans perdre la raison. Qui pourrait les croiser sans se sentir envahir par une irrésistible envie de leur jeter des cailloux. Plutôt lents et fatigables dans leur migration, ils préfèrent se déplacer accompagné de spécimens de la même espèce, mais très joueurs, ils s’accommodent vite de la compagnie d’autres quidams. Alcoolivores, (il n’est pas rare de les voir autours d’une table à renverser des verres vides), ils s’apprivoisent très facilement. Il y a trois semaines, avec Patrick, nous avons eu la chance de partager un bout de chemin avec un vieux couple. Un peu effarouchés par notre contenance, ils se sont détendus au fur et à mesure des kilomètres jusqu’à prendre plaisir et assurance.
Cette race de vététouilleurs se fait appeler « Les Taïchous », et si vous en croisez un, lâchez le caillou que vous avez dans la main : ils sont plus exubérants que méchants et on les aime quand ils sont dans notre vallée !

DéDé



dimanche 16 novembre 2014

Le 16/11/15 direction Trausse.


Six junkies de la vallée (et de pas loin…) ont sorti leur matos pour un shoot à Trausse (dans le Minervoix). Faut vraiment être accro au VTT pour les sortir un dimanche matin à 6h30…
Peut être le dernier ride de l’année dans de bonnes conditions météorologiques avec un programme annoncé qui inspire confiance.
Sur place, l’ambiance est sympathique, la raison de cette manifestation ne l’est pas moins : le Téléthon ! Près de 450 vélos sur site pour la bonne cause.
Le tracé est tout simplement magnifique. Des singles à perte de roues qui sinuent en sous bois entre résineux et petits chênes. La garrigue prend souvent le relais avec des sentiers qui jouent avec nos nerfs et nous donnent la mounine. Sur quelques tronçons nous avançons sur des roches calcaires qui surplombent un vallon un peu comme dans des films spaghettis.
Le décors est planté, venons en à nos héros de la vallée et de pas loin (Didi, Manu, Rémi, Guy, Gilles, Dédé).

Qu’ils sont fiers sur leurs « entiers ». Sauf peut être Didi qui a un hongre entre les pattes, Rémi un cheval de trait et Manu un mulet sans papier qu’il connaît à peine. Peu importe, ils sont sûrs d’eux… Mais tout ceci était sans compter les quelques pièges du parcours. A chaque marche, nos valeureux cow-boys ont leur monture qui joue la forte tête en refusant l’obstacle. Vexés, ils passent la difficulté à côté de leur bête sans piper mot, sauf peut être Guy qui a toujours un juron a proférer à l’intention d’on ne sait qui....
Il y a bien faillit y avoir quelques bonnes bagarres au saloon du Ravito, notamment avec le cavalier rose, un chef de bande qui a du être élevé à la monjetade dans le biberon. Tellement ses bras il les avait énormes, qu’on ne l’a pas engatsé le gonze ! De toute façon, fallait pas compter sur les flisquéts de l’équipe pour remporter un round. Sauf peut être Rémi qui aurait pu, tout au plus, égratigner le popeye.
Les montés s’enchaînent et nous injectent insidieusement le venin de la fatigue dans les cuisses. Mais les descentes en monotrace redonnent la patate. Du pur régale dans le pilotage…
Mises à la queue leu leu, toutes ces montées et descentes nous offrent un circuit de 40km pour 1000m de dénivelé cumulé positif ! 


dimanche 2 novembre 2014

Ils sont où les Taïchoux ?... Episode 2.

Pour finir la saison VTT en « altitude », nous prévoyons la virée « Roquefixade ». Pas besoin d’être un super héros pour la sortir, tout en sachant qu’il faut donner un peu de la pédale pour profiter du panorama.
Nous devions être 10, mais s’était sans compter le désistement de la troupe de p’tits kikis de la banlieue nord de la vallée. Ils avaient sûrement de bonnes raisons pour ne pas nous accompagner et notamment celle qui s’appelle la frousse de se frotter à une bande de cadors comme nous (Pascalou, Patrick, Guy, Jérôme et Dédé).
Ce sera à chacun sa route : ceux de la plaine (Didi, Manu, Rémi, Fred, Philou) et ceux de la montagne (nous)…
Revenons aux cadors : petit départ tranquille histoire de chauffer les guibolles et ce jusqu’à Carla de Roquefort. Là commencent les embrouilles. Je ne parle pas du premier raidillon (le col des Escrozes), mise en bouche de notre ballade, mais d’une rencontre avec une joggeuse qui, comme nous, profitait des dernières clémences de l’été indien. Un bonjour en doublant et roule ma poule…
Bon dernier dans les premiers mètres de ce premier effort, voilà t’y pas que ma tuyauterie me rappelle à mon bon souvenir les assiettes de ragoût de pois chiches avalées la veille au soir. Pédaler dans l’inconfort d’un bide qui me joue des tours ? Z’auriez fait quoi à ma place ! Je décale mon fessier de la selle pour faciliter l’opération et me débarrasse de l’importun qui hurle haut et fort son mécontentement ! Mon plaisir dans la délivrance fut interrompu par un cri féminin du genre « Hé ! Ho !!! », sûrement inquiète, voir affolée, de ce qui pouvait arriver par la suite !
Tellement obnubilé par ma tripaille, je n’avais pas entendu la sportive qui trottait à près de un mètre de mon postérieur … La hchouma sur ma tête !
Cette anecdote, je préfère vous l’écrire… je connais quelques zouaves qui se seraient fait un malin plaisir à vous la broder…
Tout ceci ne nous arrête pas dans notre objectif.
Le col des Escrozes passé (nouvellement baptisé le col du Pet par une bande de couillons dont je terrais les noms…), petite halte rafraîchissante à la fontaine de Roquefort les Cascades. Nous voilà fins prêts pour commencer la ballade ! Petit topo : ça monte…, ça monte…, ça monte, prendre à droite et ça monte…, ça monte encore et prendre à gauche. Tous ces « ça monte » en sous bois, doivent être très agréables quand ça descend… Nous en sommes à gauche, et enfin nous surplombons Leychert et toute la vallée avec, en toile de fond, le Massif de Tabe qui fait le kéké. Quelques tours de roues plus tard nous voilà face au château de Roquefixade. Mais ce n’est pas parce qu’il se dévoile qu’il va s’offrir facilement. Joueur, il nous cache quelques coups de tarin ! 22.5 km plus loin et 600 mètres plus haut que notre point de départ, nous sommes contents de déposer les vélos quelques minutes, le temps de se requinquer, de faire quelques photos et de se concentrer sur la descente qui nous attend.
Piaffant d’impatience au plaisir de descendre, nous sautons sur nos vélos prêts à en découdre. Comme apéro, une première partie en cailloutée, qui te secoue le squelette à t’en faire perdre un os. Un plat de résistance plus fun et plus roulant en sous bois qui nous permet de jouer du frein arrière. Un trou ariégeois qui te fait claquer les dents (même que Guy a faillit en laisser quelques unes sur le parcours, mais s’en est bien sorti après quelques manipulations hasardeuses et prouesse corporelles). Le dessert avec un single en sous bois, Eden des vététouilleurs que nous sommes et qui nous mène jusqu’aux cascades de Roquefort qui étaient sèches comme un coup de tric. Café et pousse café : la descente du Col du Pet qui te propose quelques sauts mais faut pas y aller comme un tabanard sinon c’est l’escagasse à coup sûr !
Tout ce petit monde est rentré sain et sauf, en appétit. Il ne nous reste plus qu’à lancer les grillades à trinquer ensemble avec les Taïchoux qui, pour boire un coup, n’ont peur de déguin…


mardi 28 octobre 2014

Sortie du Dimanche 28/10/2014

Petite Sortie Dominicale

Un coup de téléphone de Didier et c'est parti ...

Rendez-vous à 'la bite à Roco' (selon l'expression des Taïchous) à Roubichou pour nous !!!!

Je récupère Gilles à Vira et les Taïchous, Didier, Frédo et Philou à Roubichou.

La fraîcheur du matin se fait vite oublier.
Nous voila partis direction Minguet, le col de la Croix, Calzan, le pylône.

Super descente entre la palombière du col de la Croix et Calzan avant de remonter sur le col du Bourreau.
Puis pour finir le pylône afin de redescendre sur Dun.

  
Belle petite sortie pour moi, les Taïchous quand à eux rentraient par les crêtes de Vira et Rieucros jusqu'à Fontco


J'estime qu'avec Gilles nous avons été à la hauteur dans notre vallée, les Taïchous ne l'ont pas trop ramenés !!!

J'espère pouvoir la ramener une prochaine fois chez eux !!!





samedi 11 octobre 2014

LES COUSTOUS

Pas grand monde samedi pour aller à Villasavary (Aude).
Personne de la vallée, me voilà seul avec deux Taïchous, Didier et Philou !!!
Départ de Dun pour les rejoindre, comme la semaine dernière à Quillan, pas besoin de se lever à pas d'heure, début de la rando vers 13h00.
Un petit repas léger (non pas de choucroute !!!) et direction Villasavary juste après Fanjeau.
Un début de rando superbe dans les sous-bois, pas mal de single, que du bonheur.


Partis tous les trois sur le 30km, on la joue ensemble, on part devant avec Didier et on attend régulièrement Philou.
Pas de boue comme il y a deux ans

Tranquille jusqu'au ravito où, Philou ne sentant pas le besoin de reprendre des forces ne s’arrête pas.

Du coup plein gaz avec Didier, mais c'est qu'au ravito à 8 bornes de l'arrivé que nous le récupérons...
La fin de parcours est un peu décevante, beaucoup de goudron et fini les singles... 

Beau temps et chaleur, nous font apprécier d'être partis sur le 30 et non le 45 !!!
De retour à Villasavary Didier avait prévu la bière au frigo dans le fourgon. Nickel
Belle sortie quand même dans l'ensemble, le beau temps nous donne de jolie points de vue.


samedi 4 octobre 2014

Les Trois Quilles

Pas de réveil à pas d’heure pour partager une rando VTT à Quillan…
Entre les vététouilleurs de l’ASD/AVS et les Taïchoux de Font Co nous étions huit à s’être alignés sur le départ : Guy, Pascalou, François, Didi, Louis, Rémi, Kernus et moi-même. Le tracé proposé par l’AS Quillan nous semblait tout à fait convenir à notre forme du moment : 36km pour 1200 de d+. Le début du parcours, qui nous mène sur les hauteurs de Quillan, est assez roulant. Les trois hommes de tête mènent une cadence plutôt soutenue. Il va falloir calmer le jeu pour que cette virée ne tourne pas en cauchemar !... Déjà trois avis de recherche : Didi, Rémi et Kernus. Louis reste le seul représentant des Taïchoux encore avec nous. Pour reposer les gambettes, la première descente. Du petit lait. Ça bastonne juste ce qu’il faut. Personne devant pour te freiner dans ta gourmandise. Les bras quelque peu déglingués, nous repartons à l’assaut des hauteurs de Quillan. Mêmes sensations, grimpette roulante qui fait la joie des « véloroutistes ». Pascalou et François mènent toujours la dance et pas moyen de rivaliser ! Seules les descentes permettent aux trois traines savates que nous sommes (Guy, Louis et bibi) de minimiser leur supériorité. Vient le ravito. Endroit convivial où fusent les commentaires entre une tranche de pain d’épices et un quartier d’orange. Dans tout ce peuple on distingue nettement le tee-shirt jaune canari des Taïchoux. Petit chambrage de bienvenu avant de repartir ensemble. Ils vont nous fausser compagnie une nouvelle fois et on ne les reverra plus jusqu’au moment de trinquer à la santé des organisateurs…
La reprise du parcours reste du même acabit : montées qui t’aspirent et descentes qui t’inspirent. J’ai eu droit à une représentation acrobatique d’un gars de Lavelanet qui a malencontreusement mis la roue avant dans une ornière. Un vrai numéro de cirque : saut périlleux avec le vélo accroché aux tatanes ! Quel talent…
Changement de rythme dans la fin du tracé. Un profil de fêtes foraines du genre montagnes russes. Une succession de « ça monte et ça descend », parfois sur le vélo et parfois sous le vélo. Un vrai calvaire pour le cardio et casse pattes en plus. Tout s’affole… Mais comme les bonnes choses, les mauvaises aussi ont une fin ! La délivrance dans la descente ! Le plaisir de slalomer entre pins méditerranéens et chênes kermès, des épingles à faire pâlir des perruques, le paradis des vététouilleurs en somme… Au deuxième ravito plus que 6km au compteur mais déjà le GPS nous annonce un dénivelé cumulé de 1200m. Au final se sera une boucle de 36km pour 1400 de d+. Un sandwiche-bière à l’arrivée pour se remettre de nos émotions et c’est déjà l’heure de l’apéro…

mercredi 24 septembre 2014

Week-end en pays de SAULT

Après beaucoup de travail non visible de certains pour la préparation de ce week-end, notamment sur le plan logistique, nous voilà donc partis vendredi soir à Belcaire au Campime « Les chalets du Lac ».

Dès l'arrivée, il a fallu monter la grande tente afin d'être à l’abri du froid et de la pluie (au cas où !!) lors de nos repas et petits déj.



Déjà la bonne humeur et le plaisir de se retrouver là se fait sentir !!!
Une fois cette opération terminée (qui nous a quand même pris une bonne heure et demie), les choses sérieuses peuvent commencer !!!


Les moules de Gégé vont bientôt nous régaler !

Nous nous trouvons dans un cadre splendide, les chalets et les bungalows ravissent tout le monde.
Après un bon repas et quelques boutanches, il est l'heure d'aller se coucher, demain c'est marche pour certains, VTT pour d'autres et préparation du pique-nique pour le staff...

Une bonne nuit de sommeil, un bon petit déj pour prendre des forces, les VTT chargés sur les voitures, nous voilà partis pour Belvis où débutent la marche et le parcours VTT.


Une sortie VTT remplie d’embûches !! Tout commence par le DD, qui, arrivé à Belvis se rend compte qu'il a oublié un jeu de pédales pour le tandem …
Retour express au campime oblige !!!

Enfin prêt, on part (deux groupes) DD, Pascalou, Charlotte, Tom d'un côté, Didier, Jérôme, Natacha, Bastoche, Laurent et moi-même de l'autre. Mauvaise compréhension ou je ne sais quoi, les deux groupes se séparent dès le début (pensant que l'autre était devant...).

Bien-sûr pas de réseau !! Chacun suit sa route, enfin, ce qu'il croit l'être...
Puis un troisième groupe, on perd Bastoche et Laurent qui loupent un embranchement...
Toujours pas de réseau !!!
Finalement, chacun aura fait un parcours un peu différent, mais on se retrouve tous pour manger au point indiqué.

DD et ces acolytes sont déjà là avec un peu de crainte pour Pascalou nous voyant arriver sans son fils !!! Mais il arrivera avec Laurent un bon quart d'heure plus tard !!!
Puis vient le tour des marcheurs d'arriver.
Un repas sans faille, mais casse jambes sachant qu'après une belle montée nous attend pour aller jusqu'au 'Mémorialdu Maquis de Picaussel '
Un retour jusqu'à Belvis groupé avec plein de belles images en tête et de choses à raconter le soir comme le gouffre du Barrenc de Picaussel. Un grand bravo aux jeunes qui nous ont suivi lors de cette journée.

Retour au campime pour la douche et la 'Pétanque'. Là aussi, on ne pleure pas ! Ça chambre de tous les côtés, que du bonheur.

Et nous voilà repartis pour un apéro en chansons et un bon repas bien arrosé toujours dans la joie et la convivialité !!
Il y eut même une pétanque vers une heure du matin dans les allées du campime. Que dire de plus sur la bonne humeur qu'il régnait à ce moment là.

Le réveil fut dur pour certain, mais après un p'tit déj' bien rempli, il faut y aller.
Départ VTT aujourd'hui direct du campime. Un seul groupe DD, Pascalou, Bastoche, Didier, Jérôme, Guy, Gilles et François qui nous ont rejoints.
Le début plutôt roulant sur le plateau de SAULT ne dure pas longtemps, rapidement les montées s’enchaînent à un rythme assez tranquille (à cause de la pétanque on va dire!!!). En passant par Roquefeuil et les ruines de son château jusqu'au Pic du Midi.

Arrivés sur les points culminants des vues splendides s'offrent à nous. 

Quelques petits défits dans les montées techniques et une superbe descente nous ramènent jusqu'au campine.
Là, à notre grande stupéfaction et notre grand plaisir, la tente est déjà démontée (Merci!!!).
Il ne nous reste plus qu'a prendre une douche et commencer à ranger nos affaires en attendant les marcheurs pour partager un dernier (petit) apéro avec une fois de plus les moules de Gégé et un bon repas, où les restes conviennent à tout le monde.
Un peu de vaisselle, de rangement, une pétanque pour certains et l'heure du départ arrive...

En résumé, un week-end formidable sous le thème du sport et de la convivialité. Les jeunes et les moins jeunes se sont, me semble t'il, régalés. Un grand merci à l'ASD (DD tout particulièrement), à la Famille Moréno sans oublier Jean, à Gégé et Manote et à Casper du Camping 'Les chalets du Lac' qui ont su nous ravir lors de ce séjour !!!


QUE DU BONHEUR!!!


dimanche 14 septembre 2014

BIRADO 14 septembre 2014

Un week-end riche en rando se présenté devant nous,
La rando des moulins à LEZAT
La Transbiking 09 à Auzat
La Birado à Cazilhac


Notre choix, au dernier moment, c'est porté sur l'Aude avec La BIRADO, faut pas le cacher, on aime rouler dans l'Aude au milieu des vignes et de ses singles...

Nous voilà donc partis,
les trois Taïchous : Didier, Rémi, Frédo
et moi-même (il en faut bien un pour remonter le niveau) vers Cazilhac,  
départ un peu tôt mais quand on aime...

Dans le trafic, déjà, Didier et Rémi on commencés à nous montrer de quoi ils étaient capables !!!

8h15, les vélos remontés, les inscriptions prises ainsi qu'un café, il ne reste plus qu'a envoyer un petit sms avec photo pour faire râler le DD qui bosse lui (il en faut bien !!!). 

Nous voilà donc partis sur le 35.
Il fait frais, un petit 11°, mais la première montée ne tarde pas à faire remonter la température (la notre au moins...).

Toujours autant de plaisir sur ces singles. Pas mal de têtes connues, avec lesquelles on prends plaisir à discuter et rigoler.

Des ravitos dignes de ce nom, sur lequels on trouves tous ce qu'il faut pour remettre la machine en marche...
Ces gens là, ils savent recevoir !!!

Un bon verre de rouge (ou café froid pour certain) du jambon cru, des fruits (super le melon !!) et on repart jusqu'au prochain.



Que dire de plus ??
Super tracé, ça passe partout (sauf peut-être pour Rémi !!!)

Apéro à l'arrivé génial.
Encore beaucoup de satisfaction cette année à faire cette rando.



MERCI à l'organisation
VIVEMENT DANS DEUX ANS !!!

Guy


samedi 6 septembre 2014

La Rando de l'Espoir

Une majorité des adhérents de l’ASD sont venus soutenir la Rando de l’Espoir ce samedi 6 septembre. Lacoque c’est engagé sur les 9 km de la course à pied. Marie, Joëlle, Nathalie, Sophie, Fanny et Evelyne se sont essayées aux 10 km de la rando pédestre, et pour compléter l’équipé sauvage, Gilles, Amélie et Olivia sont partis sur le 20 km en VTT, Bastien, François, Guy, Pascalou et Dédé se sont inscrits sur le 35 km de la Rando de Font-Co. C’est moi qui conduis ! Pour l’occasion, nous avons sorti le monstre. Deux mètres d’alu à piloter sur les sentiers des coteaux de l’Hers. Les plus terribles restent les slaloms entre les arbres dans des singles descendants. Notre premier virage a faillit être fatal pour le coté gauche de mon acolyte Pascalou. Désignés, par expérience, les plus casses gueules (trois chutes si ma mémoire est bonne) : les petits coups de nez qui te font perdre le contrôle du pilotage. Pour en terminer avec les difficultés d’une virée en tandem, j’avoue que je me suis senti petit kiki devant une descente à tel point que notre binôme a mit pied à terre !... (Pour notre défense, elle présentait tout les atouts pour que notre essai se termine en vrac !) Si je ne vous raconte pas la peluche géante qui fait peur aux vététouilleurs, d’autres le feront volontiers en y ajoutant quelques galéjades. Concentré sur mon guidon à maintenir un équilibre instable et à éviter souches et arbres qui poussent n’importe où dans cette forêt magique, nous tombons nez à nez avec une espèce non répertoriée de plantigrade qui cachait sa méchanceté et son agressivité derrière un look de tendre nounours. J’ose espérer que mon sursaut occasionné par cette rencontre improbable restera dans le domaine du privé… Un grand merci à cette fée mystérieuse qui a su faire retomber mes frissons grâce à ses quelques notes de musique ! La fête continue avec un Guy qui souffre à tenir notre rythme (faut dire qu’une double propulsion menée par un Pascalou en canne et le tout sur un terrain roulant… c’est kek’chose !) mais il lui reste assez punch pour nous souffler quelques jolis phrasés dont lui seul détient le secret ! Et puis il y a les ravitos. Du bon et du rafraîchissant. Tout pour se rebiscouler, et repartir de plus bel à l’assaut du 35 de Font-Co. Et là, il y avait tellement de watts (ça me fait plaisir de le croire) que le dérailleur se saborde en emportant avec lui quelques rayons. Echec mais pas mat ! Ni une ni deux, « el rey de engenio », j’ai nommé le Pascalou, fait sauter le dérailleur, raccourcit la chaîne, ligote les rayons HS et nous fait rentrer à bon port avec une cadence de pédalage aux alentours des 120 ! C’était une bien belle aventure qui s’est conclue accoudé au manège carré devant une paire de demis. Ils sont bons les Taïchoux, feront ils mieux l’an prochain ?...

samedi 26 juillet 2014

Les Jeux Loufoc'

Continuons à cultiver dans notre âme ce côté joueur…
La Dream Prod’ et l’ASD ont réussi leur pari !
Un sacré mélange détonnant pour cette seconde édition des Jeux Loufoc’. De 6 ans à 72 ans et tous avec la même étincelle dans les yeux : celle de l’enfant rieur et joueur.
Dès 15h, le premier épisode « 1…2…3 skiez » donne le tempo de l’après midi. Un parcours, mitonné aux petits oignons par les Dreamers, donne du souci aux 6 équipes engagées sur ce jeu. Pas facile de coordonner cinq paires de jambes ! Puis, le temps d’un instant, ils ont vécu dans la peau des « Frères siamois borgnes ». Bras dessus, bras dessous, attachés par une patte, un du binôme les yeux bandés, ils partent affronter le circuit aménagé pour l’occasion.
Dans le même esprit « J’y vois que dalle mais je fais confiance au copain », les « Chenilles miros » rivalisent entre elles en slalomant entre les arbres.
Sous le signe de l’eau, « A la tienne… à la mienne » vient rafraîchir les esprits surchauffés. Pas de pitié pour les « Groumpfs »… Le ballon de baudruche rempli d’eau et savonné ne laisse aucune chance aux nerveux et aux excités !
Les Jeux Loufoc’ ne pourraient être complets sans le « Tirée à la corde trempée »… Le principe reste simple et vous le connaissez, mis à part que les participants s’épuisaient à tirer sur une corde dans un Douctouyre quelque peu frais !
La soirée sandwichade a été écourté par le temps capricieux. Un bel orage est venu détremper nos saucisses et a coupé court à nos envies de « Loup garou géant ».
Merci à la municipalité de Vira pour son accueil. Merci à Nadine Llorens pour l’électricité de la Paychère. Merci à Laurent Chevalier pour sa dextérité dans la conduite du bus (j’aurais pas cru que le bus puisse participer d’aussi près à cette manifestation !). Merci au Comité des Fêtes de Dun pour les différents prêts de matériels. Merci Alain et Dominique Baby pour le prêt de leur frigo à roulettes. Merci aux bénévoles de l’ASD et de la Dreams Productions. Merci à tous les participants et à tous les curieux. 


lundi 14 juillet 2014

Une virée pas comme les autres...

Pas à cause du Guy qui en dit toujours autant en pédalant, ni à cause de Gérard qui a passé son après midi à chercher des champignons sans en trouver un, mais à cause de la bête sur laquelle je me trouvais assis. C’était notre première sortie tandem. Pas facile à dompter le bougre, surtout quand y’en à un qui veut aller à droite et l’autre pas ! Au pilotage Pascalou (qui, à vrai dire, ne m’a pas laissé le choix et j’ai une petite idée du pourquoi !) et moi, le Dédé, derrière. Les premiers tours de pédales, sur le parking du « campime », laissent présager une sortie mouvementée. La topographie du parcours (bien roulante et peu accidentée) nous a permit de nous familiariser avec ce VTT siamois. On a pu apprécier combien on peut être performant quand on est deux à forcer sur le même vélo. Les Guy, Jérôme et Gérard n’ont pas fait les fanfarons ! Par contre, dés que le terrain devenait plus technique, c’étaient à notre tour de ne plus faire les marioles… Et il nous a mis la misère le tandem ! Pour jouer la montre (trop tôt pour déposer les bécanes), toute l’équipe s’engage dans un sentier balisé et donné pour 6km. Confiants, nous voilà parti la fleur au bout des pédales. Les premiers 100 m de la régalade, les derniers 5900 m … la galère ! Impensable de porter le tandem. A deux on pédale… à deux on pousse, tire et râle ! Même les départs s’avéraient compliqués. Deux idiots qui comptaient « un, deux, trois… » et qui se plantaient lamentablement après ¼ de tour du pédalier. Et la descente ? Pas mieux !...  Le pilote qui freinait et le copilote qui gueulait « lâche les freins ! » non pas pour aller plus vite mais pour passer les obstacles sans encombre. Et les autres qui se régalaient dans cette descente quelque peu technique et qui se moquaient, à juste titre, de ma dernière place sur la grille d’arrivée !
Vivement la prochaine virée où les rôles seront inversés et là… musique !